Nous remercions les services et l’élue en charge pour ce rapport.
Nous voyons néanmoins quelques manquements :
Il manque les données sur les seniors, l’espérance de vie est bien supérieure pour les femmes – les 2/3 des personnes de + de 75 ans sont des femmes – Elles semblent donc invisibilisées…
Il manque de rappeler l’action de l’association « Elles bougent », association, dont le but est de renforcer la mixité dans les entreprises des secteurs industriels et technologiques, association qui intervient depuis quelques années au collège des Ormeaux, notemment lors du forum des métiers. Une des marraines est parent d’élèves FCPE. Cette association a d’ailleurs une subvention du CD 92 depuis cette année pour accentuer ces missions.
Il est fait référence aux femmes inspirantes, à la mode et aux icones. Nous sommes étonnés qu’il ait encore, et nous l’avions déjà mentionné lors du CM de février 2024, « Ferdinant Lot et les siens» (Muriel Galante-Guilleminot m’avait dit d’ailleurs en CM l’année dernière que c’était faux ; or, il y a bien un livre avec ce titre). Nous rappelons que Myrrha Borodine fut une des premières médiévistes femmes et une éminente spécialiste de théologie orthodoxe et qu’Irène Vildé, traductrice de Berdiaev a été une femme élue au CM, et que leur mari et leur père est Ferdinand Lot.
Face à ces femmes inspirantes à Fontenay-aux-Roses, avez-vous pensé à une journée du matrimoine, comme c’est le cas dans de nombreuses villes ?
Pas de réponse
On note que la cellule est externalisée, nous l’avions demandé l’année dernière car quand on est victime d’agissements sexuels ou sexistes, c’est compliqué d’aller dire que tel collègue, tel responsable ou tel élu a fait cela. Vous nous avez dit que la cellule interne a été saisi en 2023, pouvez-vous nous dire s’il y a eu des suites car c’est sans doute aussi compliqué en interne de gérer de tels agissements. Nous ne demandons pas la nature des suites pour la victime et l’auteur, mais nous aimerions être surs qu’il y en a eu.
Pas de réponse
Un autre sujet, l’espace public à revoir sous cet angle, via des campagne de sensibilisation, de prévention, des marches exploratoires, comme c’est le cas dans de nombreuses villes, pour améliorer la sécurité des femmes.
Pas de réponse
Enfin, pour mettre en place ces actions, comme le préconise le Centre Hubertine Auclert, il est nécessaire d’avoir une ou un élu, un budget et un agent dédié. Qu’en-est il ?
Lauren Vastel répond que la ville ne peut pas mettre 5 agents sur le sujet, réponse caricaturale… puisque nous avons demandé 1 agent…