Ce message, illustré par une tombe sur laquelle on peut lire la date de naissance de David Belliard, met en scène sa mort. Le mot est également menaçant envers sa famille. « Ses dernières paroles ont été pour sa famille qui seront les prochaines victimes ».

Réponse de David Belliard : « Les menaces de mort sont inutiles, et seront toujours moins flippantes que le dérèglement climatique et ses effets. Ma détermination à réaliser le programme pour lequel on a été démocratiquement élu est toujours intacte. »

Maxime Messier et moi condamnons fermement ces pratiques et lui apportons notre amicale et militant soutien.


Ces pratiques honteuses sont pénalement punissables : pour une « menace de mort ou d’une menace d’atteinte aux biens dangereuse pour les personnes », la peine d’emprisonnement est de cinq ans et l’amende à 75 000 €.
Une cellule de « veille des réseaux sociaux » a été mise en place pour détecter les messages de haine et les signaler au plus vite à la plateforme Pharos.